Londres en bateau et à pied au fil de la Tamise
Londres, comme New York ou Paris, est une ville tentaculaire qu’il faut plusieurs semaines pour bien visiter.
Cette fois-ci, je n’ai que deux jours à lui consacrer. Aussi, je décide de me concentrer sur la découverte de la Tamise, qui a joué un rôle déterminant dans l’essor de la capitale britannique.
Ce voyage n’est qu’une étape d’un périple qui m’a mené de Paris jusqu’en Irlande. Découvrez mon récit à travers une série d’articles, dont celui-ci est le second.
Mon voyage de Paris à l’Irlande en Train et Ferry
- Paris à Londres en train et ferry via Dieppe et Brighton
- Londres en bateau et à pied au fil de la Tamise : vous y êtes !
- Londres à Dublin en train et ferry via Liverpool et Belfast
- Dublin à Paris en Ferry et Train via Cherbourg.
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Une visite de Londres sur le thème du maritime et de la Tamise
Londres ! Étant donné son histoire, elle fait partie des métropoles majeures de notre monde.
Une métropole cosmopolite
Elle séduit de nombreux étrangers par son énergie et son cosmopolitisme. D’après le consulat français, 300 à 400 000 de nos compatriotes s’y seraient installés. C’est ce qui a permis à son ancien maire, le tristement célèbre Boris, de prétendre être l’édile de la sixième plus grande ville française !
Londres m’intéresse plus que je l’aime
Pour être très honnête avec mes lecteurs, Londres ne fait pas partie de mes villes coups de cœur. Son architecture brouillonne et pas toujours esthétique me rebute un peu. Elle est cependant incontournable et je la visite toujours avec beaucoup d’intérêt, car elle est passionnante.
Une visite sur le thème de la Tamise
Cette fois-ci, j’ai décidé d’orienter ma visite autour de la Tamise. D’une part, cela est cohérent avec mon voyage entre la France et l’Irlande, plutôt tourné vers le maritime. D’autre part, je n’ai que deux jours et il est hors de question de vouloir tout visiter dans une ville aussi riche et complexe.
Paris et Londres offrent la particularité d’être traversées par un fleuve, ce qui a joué un rôle important dans leur développement. Mais la ressemblance s’arrête là, car chacune a des apparences et des personnalités bien différentes.
La Seine participe à l’élégance de Paris avec ses quais et ses ponts inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO. La Tamise a une allure plus sauvage et maritime, avec le rythme bien visible des marées le long de ses berges moins domestiquées et à l’allure plus industrielle.
Je choisis un hébergement à Chelsea, dans l’ouest de Londres, au bord du fleuve
Dans les grandes villes, le choix du lieu est souvent plus important que l’hébergement lui-même.
Pour cette raison, je trouve une chambre chez l’habitant à Chelsea Waterfront dans l’Ouest londonien dans un tout nouveau quartier au bord de la Tamise. Il a l’avantage d’être à côté d’un embarcadère d’où partent des bateaux de transport réguliers sur le fleuve.
Mon moyen de transport : Uber Boat by Thames Clipper
Depuis 2020, Uber Boat et Thames Clippers se sont associés pour proposer un service de bateau sur la Tamise.
Il est très pratique, avec des fréquences régulières, et permet de se rendre dans de nombreux points de la ville entre Putney à l’ouest et Barking Riverside à l’est.
Les bateaux utilisés sont des catamarans pouvant transporter entre 150 et 200 passagers, avec des fauteuils offrant un confort inégalé par rapport à d’autres modes de transport urbain. Il est même possible d’acheter une boisson ou un snack et de profiter de l’air extérieur sur le pont à l’arrière.
Pour plus de renseignements pratiquezs vous pouvez aller sur le site thamesclippers.com qui est très complet.
Mes deux jours de visite
Le premier jour de mon séjour à Londres, j’ai prévu de me rendre jusqu’au centre et d’y faire une balade à pied sur les bords de la Tamise.
Le second jour, je prendrai le bateau jusqu’à Greenwich, à l’est de Londres,qui est un haut lieu touristique. J’en profiterai pour aussi visiter le nouveau quartier d’affaires : Canary Wharf.
Mon hôte résidant à moins de dix minutes à pied de « Chelsea Harbour », je suis bien placé pour voyager avec Uber Boat. Il est tout à fait envisageable de combiner des parties du trajet en bateau avec des marches ou de différents moyens de transport comme le bus ou le métro. C’est ce que j’ai fait et c’est ultra-facile.
À l’ouest de la Tamise à Londres (jour 1)
Avant d’embarquer, je fais un tour dans le quartier de « Chelsea Harbour » où habite mon hôte.
Chelsea Harbour
La pièce maîtresse du quartier est l’ancienne centrale électrique. Construite en 1902, elle produisait de l’électricité pour le métro de Londres. Son fonctionnement nécessitait 700 tonnes de charbon par jour, acheminées par des barges sur la Tamise. La centrale a cessé de marcher en 2002 et il a fallu une vingtaine d’années pour la transformer en luxueux appartements.
Autre caractéristique, l’existence d’un port de plaisance accessible à marée haute. Une écluse permet de conserver les bateaux à flot même à marée basse.
Je quitte « Chelsea Harbour » à marée basse. L’eau s’est retirée, laissant des péniches échouées sur la vase.
Battersea
Nous longeons l’immense parc de Battersea de 83 hectares. Je remarque la pagode de la paix, bien visible depuis la rivière. Un moine bouddhiste vient s’y recueillir chaque jour. Si le temps avait été meilleur, j’aurais aimé me balader dans ce parc réputé, mais vu les conditions pluvieuses, je préfère continuer ma croisière.
« Battersea Powerhouse », une autre centrale électrique au charbon, se profile devant nous. Ce bâtiment Art déco absolument énorme est devenu emblématique grâce au groupe Pink Floyd qui s’en est servi pour illustrer son album « Animals » en 1977. Pour l’anecdote, l’architecte Sir Giles Gilbert Scott, qui a conçu la centrale, est aussi l’inventeur de la fameuse cabine de téléphone rouge !
La centrale cessa de fonctionner en 1983, mais il a fallu attendre 2012 pour qu’elle connaisse une nouvelle vie à l’aide d’un consortium malaisien. Aujourd’hui, c’est un complexe comprenant des logements, des bureaux, des commerces et des espaces de loisirs.
Mais où est James Bond ?
Nous passons devant l’imposant immeuble du « Secret Intelligence Service », le fameux MI6 popularisé par James Bond.
Un peu plus loin se trouve le plus discret MI5, en charge de la sécurité intérieure du Royaume-Uni.
La Tamise au centre de Londres (jour 1)
Nous entrons dans la partie centrale de Londres et notre catamaran réduit significativement sa vitesse.
Nous sommes maintenant dans la partie la plus intéressante du fleuve et j’ai beaucoup de monuments à regarder.
Westminster : le centre du pouvoir britannique
Nous approchons du cœur du pouvoir britannique avec le Palais de Westminster, où siège le Parlement, qu’il n’est nul besoin de présenter tant il est célèbre à travers le monde.
La vue depuis la Tamise est certainement la meilleure que l’on puisse avoir. Le bâtiment a de l’allure avec son style néo-gothique. Big Ben vient en plus d’être remis à neuf.
Un peu plus loin derrière, mais on ne les voit pas du fleuve, se situent l’abbaye de Westminster et le palais royal de Buckingham.
Du côté sud de la rive, mon œil est attiré par la roue de Londres, le London Eye. Son esthétique est discutable selon moi, mais elle offre une belle opportunité de voir la ville à une hauteur maximale de 135 mètres. On monte dans l’une des 32 capsules pouvant accueillir 25 personnes, et le tour complet dure environ une trentaine de minutes. Pour ma part, le temps est trop mauvais pour que j’envisage d’y monter !
Juste à côté je découvre l’immense ancien County hall qui a été reconverti en hôtels et centre de loisirs.
Londres ne serait pas Londres sans ses pubs et, bien sûr, nous en retrouvons le long de la Tamise. À commencer par le « Tattershall Castle », situé dans un ancien ferry à vapeur construit en 1934 pour naviguer sur la rivière Humber, dans le nord de l’Angleterre.
À côté se situe la fameuse « aiguille de Cléopâtre », un obélisque de 21 m de haut offert par le vice-roi d’Égypte, Méhémet Ali Pacha à la fin du XIXe siècle. Juste derrière j’aperçois le monument Adelphi avec son impressionnante architecture art déco qui date des années 30.
Londres et ses deux visages : ancien et ultramoderne
Sur la rive nord, j’aperçois la coupole de la cathédrale Saint-Paul. Ce fut la cinquième construite sur le même lieu suite à plusieurs incendies. Elle fait partie des monuments emblématiques de la ville malgré que je trouve son architecture un peu lourde.
La cathédrale est reliée par un pont piétonnier à la Tate Gallery, facilement reconnaissable par sa taille et que je visiterai plus tard.
Mon bateau passe à côté du théâtre du Globe. Bien qu’il semble ancien, il est une copie, inaugurée en 1996, du théâtre où furent jouées de nombreuses pièces de Shakespeare jusqu’à sa destruction par un incendie en 1613. Son originalité est d’avoir le parterre à ciel ouvert !
Sur la rive nord j’ai une image qui illustre bien le visage de Londres : au premier plan je vois le Vintners hall, un club privé organisant des réceptions dans un immeuble de style victorien. À l’arrière-plan, se détachent, de façon anarchique, les buildings ultracontemporains de La City.
Sur la droite, je remarque un drôle d’immeuble situé au 20 Fenchurch street. Il est surnommé le « Talkie-Walkie » en raison de sa forme concave. Comme il est orienté plein sud, il concentre les rayons du soleil, ce qui a créé des dégâts inimaginables dans la rue avoisinante avec des températures proches de l’ébullition ! Un journaliste put même y faire cuire un œuf !
Le London Bridge Hospital : un symbole de la santé à deux vitesses du Royaume-Uni
Dans son voisinage se trouve le London Bridge Hospital juste au bord du fleuve. Il a une excellente réputation avec une moyenne de cinq étoiles données par ses patients.
Cependant, il vaut mieux avoir une bonne assurance, car c’est un hôpital privé non couvert par le National Health Service.
Le Royaume-Uni a maintenant un système de santé à deux vitesses où passer par le NHS implique plus de délais et moins de liberté de choisir son hôpital ou son médecin que dans le privé.
The Shard : une tour de 309 m controversée
Derrière le London Bridge Hospital, un gratte-ciel s’élève de manière vertigineuse dans le ciel : « The Shard » qui veut dire l’éclat de verre. Ses détracteurs l’avaient surnommé de cette façon, car la tour leur faisait penser à un éclat de verre qui transperçait le cœur historique de la ville.
Ceci étant dit, je trouve que la tour elle-même est une réussite sur le plan architectural et elle a contribué à revitaliser ce quartier de Londres. Avec sa forme de flèche dessinée par l’architecte italien Renzo Pinao, elle est très élégante.
À son inauguration en 2012, elle était avec ses 309 m la plus haute tour d’Europe. Une plate-forme d’observation est accessible au 72e étage. Renzo a également témoigné de son empreinte le paysage parisien en étant dans l’équipe d’architectes sélectionnée pour la construction du Centre Georges Pompidou au début des années 70.
La Tamise à pied le long de ses rives
Je descends de mon bateau au « Tower Pier ». C’est l’embarcadère pour visiter la Tour de Londres qui est l’une des attractions les plus visitées de Londres.
Je me contenterai de passer à côté, car, bien que nous soyons en milieu de semaine en mai et il y a déjà foule. Je ne comprends pas cette envie de suivre une « to do list » pour visiter les mêmes lieux que tout le monde. Selon moi, on peut très bien visiter Londres, y compris une première fois, sans se croire obligé d’aller voir les bijoux à la Tour de Londres.
Je reviens à pied par la rive sud jusqu’à l’embarcadère de « Westminster Pier » afin de revoir les différents lieux que j’ai un peu trop vite vu en bateau.
Le Tate Modern gallery
À la hauteur de la passerelle piétons, le Millenium bridge se situe l’immense Tate Modern gallery, lui aussi installé dans une ancienne centrale électrique du XIXe siècle. Le musée, comme de nombreux autres à Londres, est gratuit. J’en profite pour le visiter.
À l’est de Londres à Canary Wharf et Greenwich (jour 2)
Le lendemain je retourne prendre un Uber boat depuis Chelsea pour aller dans l’est de Londres. Sur la première partie du trajet je revois les mêmes paysages que la veille, mais ce n’est pas pour me déplaire, car je trouve la Tamise fascinante à découvrir plusieurs fois.
Les ponts de Londres
J’en profite pour prêter une attention particulière aux nombreux ponts qui traversent la Tamise, avec chacune leur personnalité.
Au passage, je remarque la gare de Blackfriars qui a la particularité de se situer sur un pont !
Le Tower Bridge
Bien sûr le plus célèbre pont de Londres est le Tower Bridge qui est fièrement gardé par le HMS Belfast, un ancien croiseur datant de la Seconde Guerre mondiale.
Nous quittons maintenant le centre de Londres et l’Uber Boat reprend de la vitesse.
Un fleuve en perpétuel chantier
Londres est une ville en perpétuel changement. À l’horizon, ou même sur le fleuve, je vois régulièrement de gigantesques grues qui sont prêtes à faire surgir de nouveaux immeubles ou constructions.
Les entrepôts transformés en immeubles résidentiels
Aujourd’hui, le port de Londres a migré vers l’embouchure de la Tamise, à Tilbury, qui a l’avantage d’être en eau profonde et adapté aux trafics de conteneurs.
Il faut savoir que jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, le port de Londres était bien plus au centre de la ville.
La Tamise était bordée de nombreux entrepôts. Certains ont été détruits, mais d’autres comme le Pickfords Wharf ont été transformés en résidences de luxe.
Les différentes vies du Butler’s Wharf
Sur la rive méridionale, nous voyons un de ces entrepôts transformés en immeuble d’appartements de luxe avec plusieurs restaurants et bars : le Butler’s Wharf.
À l’origine, le Butler’s Wharf était l’un des entrepôts les plus essentiels, servant au stockage de thé, de café, de cacao, de tabac et d’épices, tous des produits importants du commerce maritime à l’époque victorienne.
Puis dans les années 70, après une longue période de déclin, le Butler’s Wharf a connu une nouvelle vie avec des communautés d’artistes alternatifs recherchant de vastes espaces bon marché pour y développer leur art.
Aujourd’hui, je trouve regrettable que cette vocation se soit perdue au profit d’une zone de luxe, comme si Londres n’en avait déjà pas assez.
De nouveaux immeubles à l’architecture plus ou moins réussie
Tout le long de mon parcours, j’observe de nombreux immeubles modernes à l’architecture plus ou moins réussie. Londres semble privilégier l’audace plutôt que l’harmonie comme à Paris.
Nous continuons à vive allure jusqu’à Canary Wharf.
Canary Wharf : le nouveau quartier d’affaires
Je descends à Canary Wharf pour voir à quoi ressemble ce nouveau quartier développé à partir des années 80 sur d’anciens docks et qui est devenu le deuxième quartier d’affaires de Londres après La City.
J’avoue que s’y balader est plutôt plaisant, même si l’architecture des tours est assez froide. La place dévolue aux piétons est importante et de nombreux canaux aèrent le quartier.
Un métro aérien automatique, les Docklands Light Railway (DLR), permet de rejoindre rapidement le réseau underground londonien et l’aéroport de London City.
Je ne m’éternise pas dans ce quartier qui est avant tout dédié aux hommes et femmes d’affaires.
Greenwich, un petit bourg touristique charmant
Je reprends ensuite un ferry vers ma destination finale, Greenwich.
D’un point de vue administratif, nous sommes toujours à Londres, mais en réalité, Greenwich ressemble plus à un petit bourg avec de nombreux attraits touristiques. Il est facile d’y passer une journée entière sans s’ennuyer. L’UNESCO ne s’y est pas trompée en inscrivant le lieu sur la liste des sites du World Heritage.
Juste avant mon arrivée, mon attention se porte sur le magnifique Old Royal Naval College, qui forma les officiers de la marine britannique jusqu’en 1998.
Je suis accueilli, en descendant du débarcadère, par le Cutty Sark, un magnifique voilier clipper trois-mâts, mis à l’eau en 1869. Depuis, placé en cale sèche, il est le témoignage des clippers de l’ère victorienne, qui étaient chargés de ramener du thé de Chine le plus rapidement possible.
Un étrange bâtiment circulaire attire mon regard, c’est l’entrée d’un tunnel piétonnier datant de 1902 qui permet de traverser la Tamise jusqu’à l’autre rive.
Mon voyage étant axé sur la mer, je visite le musée maritime national. La partie la plus intéressante est celle consacrée au Vice-Amiral Horatio Nelson avec ses deux plus célèbres victoires : la bataille du Nil en 1798 et surtout celle de Trafalgar en 1805, face à son meilleur ennemi, Napoléon Bonaparte. Le reste du musée est un peu décevant et n’est pas à la hauteur de l’histoire d’une des plus grandes puissances maritimes de l’histoire. J’ai trouvé celui d’Hambourg bien plus complet et attractif.
Au sud du musée s’étend un immense parc où il doit faire bon déambuler quand il fait beau, mais je dois me contenter de le parcourir sous mon parapluie jusqu’à l’Observatoire royal que je n’ai pas eu le temps de visiter.
Greenwich est aussi célèbre à cause de son méridien, matérialisé par un rail près de l’observatoire, qui donne l’heure UTC de notre planète.
Situé en hauteur, la vue depuis l’observatoire est large à défaut d’être belle, car elle est gâchée par les imposants, mais pas forcément gracieux, buildings de Canary Wharf. De ce fait, je remarque, à peine, au premier plan le Old Royal Naval College.
À droite, je remarque l’énorme dôme de l’O2 Arena qui est devenue un centre de loisirs et de spectacles pouvant accueillir jusqu’à 20 000 personnes.
Je passe par le centre de Greenwich qui ressemble à un joli petit village avec de nombreuses boutiques et petits restaurants. Le marché couvert, bien que devenu très touristique, fait partie des attraits du coin.
À la fin de cette deuxième journée, je retourne ensuite vers le débarcadère pour reprendre un bateau qui me ramène chez mon hôte à Chelsea.
Londres, une vraie ville maritime
Après ces deux jours de visite, j’ai mieux réalisé que Londres, grâce à la Tamise, est une ville tournée vers la mer.
Londres, avec son histoire riche et son dynamisme cosmopolite, reste une destination incontournable malgré son architecture parfois déconcertante. Mes balades sur la Tamise l’ont encore démontré.
Pour me déplacer j’ai beaucoup apprécié les Uber boats qui sont pratiques et faciles à emprunter, et aussi bien plus confortables que le métro de Londres souvent bondé.
Le plus grand regret de mon voyage a été le temps qui fut très gris et pluvieux.
Pour finir, j’ai même trouvé un « petit » trois-pièces, à acheter, avec une vue magnifique sur la Tamise à Chelsea Harbour, le quartier où j’ai résidé pendant mon séjour. Le prix est son seul défaut !
Il est temps maintenant de continuer mon voyage vers l’Irlande que je vais atteindre après un trajet en train vers Liverpool puis en ferry. Je raconte la suite dans le troisième article de cette série : « Londres à Dublin en train et ferry via Liverpool et Belfast ».
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