Dublin à Paris via Cherbourg en Ferry et Train
Je voulais aller en Irlande, mais en évitant de prendre un avion qui m’aurait parachuté sur place en moins de deux heures, sans la moindre transition.
L’Irlande étant une île, j’ai donc combiné le train et le bateau pour m’y rendre, en faisant quelques arrêts touristiques sur mon trajet.
Mon voyage de Paris à l’Irlande en Train et Ferry
Je voulais aller en Irlande, mais en évitant de prendre un avion qui m’aurait parachuté sur place en moins de deux heures, sans la moindre transition.
Je désirais également prendre le temps d’y aller en privilégiant le confort et le plaisir des moments de transport qui, selon moi, font partie intégrante du voyage.
L’Irlande étant une île, j’ai donc combiné le train et le bateau pour m’y rendre, en faisant quelques arrêts touristiques sur mon trajet.
Mon voyage a duré 12 jours selon le trajet suivant :
Je raconte mon voyage en quatre articles successifs :
- Paris à Londres en train et ferry via Dieppe et Brighton
- Londres en bateau et à pied au fil de la Tamise
- Londres à Dublin en train et ferry via Liverpool et Belfast
- Dublin à Paris en Ferry et Train via Cherbourg : vous y êtes !
Je vous donne aussi quelques conseils pratiques pour vous aider à organiser votre propre voyage à la fin de cet article.
Tous les textes en couleur corail indiquent un lien interne ou externe que je vous invite à cliquer.
Jours 9 et 10 : Dublin, une ville qui s’est métamorphosée depuis un siècle
Je ne m’étais rendu à Dublin qu’une seule fois pour le boulot. Un aller-retour journée en avion pour une réunion de quelques heures chez le loueur de voitures partenaire de la compagnie aérienne pour laquelle je travaillais. Le genre de mission que je ne regrette absolument pas de ne plus avoir à faire !
Une petite capitale où il fait bon vivre
Dublin est le genre de ville qu’il faut prendre le temps d’apprivoiser pour l’apprécier. Elle n’est pas spécialement belle ni spectaculaire, mais j’ai trouvé que c’est un lieu où il est agréable de vivre.
Dublin n’est pas une très grande ville et c’est à pied que je la découvre. L’atmosphère m’y semble bien plus légère qu’à Belfast.
Fin mai, les prix des hôtels étaient très élevés, aussi j’ai décidé de dormir chez l’habitant à un coût plus raisonnable. J’ai eu la chance que mon hôte soit particulièrement accueillant et bavard. Nous partagerons d’ailleurs nos dîners et, en partant, j’aurai l’impression d’avoir été reçu chez un ami irlandais.
Se balader sans programme de visite
Pendant mon séjour à Dublin, j’ai surtout déambulé dans la ville sans but précis et sans guides. Je voulais juste ressentir l’ambiance. Après dix jours de tourisme, je n’avais pas envie de m’imposer un programme de visites.
C’est pourquoi je ne vous propose pas de balades spécifiques, mais plutôt mes impressions sur ce qui m’a marqué pendant mes deux jours sur place. Le voyage c’est aussi ça : se laisser surprendre.
Je pense que je retournerai certainement une autre fois pour mieux découvrir Dublin, car, par expérience, j’ai relevé qu’une ville se découvre mieux en plusieurs visites.
The Irish Emigration Museum : émouvant !
Un lieu m’a ému : The Irish Emigration Museum (EPIC). Ce que j’ai beaucoup aimé dans ce musée, c’est qu’il montre que les Irlandais ont réussi à faire de l’émigration, souvent douloureuse, un objet de fierté.
Les Irlandais ont connu dans le passé des périodes particulièrement difficiles, notamment avec la grande famine entre 1845 et 1852 et les conséquences du colonialisme britannique qui fut assez brutal pour les Irlandais. Un mémorial, avec de poignantes statues, se situe sur le quai devant le musée EPIC.
À cause de ces périodes troubles, les Irlandais ont dû émigrer vers des contrées plus hospitalières comme les États-Unis.
Un peu plus loin, le Jeanie Johnston est une réplique d’un bateau du XIXe siècle transportant des migrants vers l’Amérique du Nord. On se demande comment il a pu traverser l’Atlantique, car il fait tellement frêle.
Ces visites devraient nous inspirer davantage à une époque où la peur de l’immigration se propage un peu partout en Europe. Les émigrés quittent rarement leur pays d’origine par joie ou sans nécessité absolue. En revanche, l’immigration est au fil du temps une opportunité et un enrichissement pour le pays d’accueil.
En complément, j’ai visité la National Gallery et sa section consacrée aux peintres irlandais du XIXe siècle. Les tableaux illustrent bien comment était la vie en Irlande à une époque où le pays était l’un des plus pauvres d’Europe.
Une ville jeune et dynamique qui se retrouve à Temple Bar
Si l’Irlande fut autrefois une terre de départ, Dublin est aujourd’hui une ville d’accueil avec environ 20 % de sa population qui est d’origine étrangère.
J’ai ressenti l’ambiance très jeune et internationale de la ville grâce à ceux qui y travaillent pour les grandes entreprises technologiques comme Google ou Facebook ou les call-centers comme Hertz, Téléperformance, AirBnB ou Dell.
Temple Bar est le quartier où tout le monde se retrouve dans les pubs et les bars à déguster la Guinness locale en musique ! Grâce à l’économie numérique, l’Irlande est devenue au XXIe siècle l’un des pays les plus riches d’Europe. Un parcours étonnant depuis le XIXe siècle !
Près de Temple Bar deux lieux méritent le détour : le Trinity College et le parc St Stephen Green.
Un pays à la fois conservateur et progressiste
J’ai aussi ressenti l’Irlande comme un pays de paradoxes. À la fois conservateur et progressiste.
C’est ainsi que je suis passé, par hasard, devant l’église Saint-Andrew au moment où entrait une impressionnante procession de prêtres et d’évêques en vue de l’ordination du Père Donal Roche comme évêque auxiliaire de Dublin. Contrairement à la France qui est devenue un pays très laïc, la religion catholique continue de jouer un rôle important en Irlande,
Il est important de noter que le divorce n’a été légalisé qu’en 1996, l’avortement réellement autorisé qu’en 2018, et le mariage entre personnes de même sexe en 2015. À chaque fois, ces avancées sociétales ont été largement approuvées par des référendums, montrant ainsi que le peuple irlandais est plus progressiste qu’on ne le pense à première vue.
Deux cathédrales anglicanes et aucune catholique
Dublin possède deux cathédrales de l’époque médiévale : Christ Church et Saint-Patrick. Elles sont toutes les deux anglicanes, héritage de l’occupation anglaise, alors que le pays était déjà très majoritairement catholique.
Par principe, je n’ai pas voulu les visiter, car leur accès est payant et je pense que les lieux de culte ne devraient pas l’être. Ceci d’autant plus qu’à Dublin, à l’inverse, de nombreux musées sont gratuits.
Un autre lieu a presque le statut de religion à Dublin : The Guiness Brewery. La bière la plus célèbre d’Irlande. Cette stout noire, connue pour sa couleur sombre et sa mousse épaisse et crémeuse, est brassée à Dublin depuis 1759.
Jours 11 et 12 : De Dublin à Cherbourg en ferry de nuit
C’est maintenant le trajet du retour vers chez moi. De tout mon circuit, Dublin — Cherbourg en bateau est la traversée que j’attends avec le plus d’impatience, car elle se passe de nuit.
Une cabine privative pour un prix raisonnable
Mon bateau, le W B Yeats, construit par les Allemands, est opéré par les Irish Ferries depuis 2019. C’est donc un paquebot récent. La photo, ci-dessous, a été prise le lendemain à Cherbourg au moment de son retour à Dublin.
J’ai loué une cabine, pour plus de confort, ce qui accentue aussi l’impression de vivre une croisière. Je paye le prix fort, car je l’occupe seul alors qu’elle a une capacité pour accueillir quatre personnes. Le montant de 179 EUR reste cependant raisonnable. Ma cabine est de belle dimension et est aménagée avec un lit et un canapé. J’ai une salle d’eau, avec douche et WC privatifs. La décoration est cependant trop fonctionnelle et triste.
Départ en longeant les côtes irlandaises
Une fois installé dans ma cabine, je monte sur le pont supérieur pour profiter d’une vue panoramique sur le port de Dublin situé à l’embouchure du fleuve Liffey.
J’observe une spectaculaire file de camping-cars qui embarquent dans notre navire de retour vers le continent. L’Irlande avec ses landes et ses côtes sauvages attirent ce type de touristes principalement sur la Route de l’Anneau du Kerry et la Wild Atlantic Way. Plusieurs camions avec des vaches à bord seront aussi du voyage !
C’est enfin le largage des amarres ! Je suis toujours impressionné de voir que même les plus gros bateaux ne sont reliés au quai que par de simples cordes.
Nous longeons pendant un bon moment la côte orientale de l’Irlande. De loin, je discerne de beaux paysages légèrement accidentés et très verdoyants. Cela me donne envie de revenir et, cette fois, de découvrir la très réputée campagne irlandaise.
J’observe mes compagnons de voyage. Sur un bateau, il y a de la place et chacun peut soit s’isoler ou se retrouver en groupe pour faire la fête sans gêner les autres !
Dès que nous quittons les côtes irlandaises, la mer devient un peu agitée. J’ai la chance de ne pas avoir le mal de mer et je regrette même qu’elle ne le soit pas plus !
Je commence par un apéritif au bar situé à l’avant du bateau, puis je me rends à la cafétéria pour un diner qui se révèlera très médiocre pour un prix bien élevé. Nous sommes bien loin de la qualité que j’ai pu observer sur le ferry de la Stena entre Liverpool et Belfast.
J’en profite pour découvrir les différents espaces du bateau. La décoration est sobre et même un peu austère.
Je retourne une dernière fois sur le pont extérieur avant d’aller me coucher pour profiter d’une excellente nuit. Le bercement du bateau est très léger et agréable ! J’adore.
Rade de Cherbourg : bientôt la fin du voyage !
Le lendemain matin, c’est dans la brume que nous découvrons les côtes françaises du Cotentin.
Notre voyage se termine dans l’immense rade de Cherbourg. Elle fut construite à partir du XIIe siècle avec trois digues surmontées de forts. La rade permettait de protéger les bateaux des tempêtes. Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, les gros paquebots, comme le Titanic, mouillaient dans la rade et des transbordeurs emmenaient les passagers et le fret depuis le port comme le Nomadic que j’ai pu visiter à Belfast.
Nous arrivons au nouveau port de ferry.
A Cherbourg, le ferry n’est pas fait pour les piétons !
Cette situation est d’autant plus regrettable, car autrefois Cherbourg disposait d’une magnifique gare maritime où les transferts de trains à bateaux se faisaient très facilement. C’est que je vais apprendre plus tard en visitant la Cité de la Mer.
Jour 12 : Cherbourg et la Cité de la Mer
J’ai une grosse demi-journée pour découvrir Cherbourg.
Cherbourg : un port avant d’être une ville
Je commence par un bon déjeuner dans la vieille ville à l’excellent restaurant Le Plouc 2 pour compenser la médiocrité des repas servis par les Irish Ferries qui m’ont laissé sur ma faim !
Cherbourg est avant tout une ville portuaire, abritant l’un des plus grands ports de plaisance de France, ainsi qu’un port de pêche, un port de commerce, et un port de ferries reliant l’Irlande et l’Angleterre. Historiquement, elle a été surtout connue pour son port militaire.
La Cité de la Mer : le quatrième musée maritime de mon périple !
Comme j’ai peu de temps, je décide de consacrer mes quelques heures qui me restent à la visite de la Cité de la Mer plutôt qu’à la ville. C’est le quatrième, et dernier musée maritime que je découvre pendant ce voyage après celui de Londres, Liverpool et Belfast.
La Cité de la Mer est intéressante à plus d’un titre et elle justifie, à elle seule, une visite de Cherbourg.
Tout d’abord elle se situe dans l’ancienne gare maritime. À la belle époque, de luxueux trains y arrivaient depuis Paris pour permettre à la clientèle d’embarquer directement à bord des transatlantiques de la Cunard et la White Star Line qui avaient fait de Cherbourg leur principal port sur le continent. On peut encore voir les anciennes passerelles pour rejoindre les navires. La salle des bagages a été entièrement reconstituée et elle est spectaculaire.
Un must : la visite du sous-marin nucléaire le Redoutable
Je commence par découvrir le premier sous-marin nucléaire français, le Redoutable, qui est le joyau de la Cité. La visite se fait avec un audioguide très bien fait qui permet d’imaginer les conditions de vie des marins enfermés pendant de longues semaines de navigation secrète sans aucune relation avec le monde extérieur.
Je continue avec la section sous-marine qui est très dictatique. De nombreuses animations se mêlent avec les aquariums présentant la faune aquatique.
Encore le Titanic !
Je termine par la section du musée consacré au Titanic. Comme à Liverpool et Belfast, Cherbourg a un lien avec le paquebot, car le Titanic fit escale à Cherbourg avant de traverser l’Atlantique et y faire naufrage.
Le musée a reconstitué des cabines du paquebot et de nombreuses photos illustrent la période transatlantique du port de Cherbourg.
J’ai une pensée pour le Commandant du Titanic, Edward Smith, dont le portrait est fièrement présenté dans le musée.
Après mes diverses visites, je suis devenu incollable sur l’histoire de ce bateau.
Il est intéressant de voir que les musées de Liverpool, Belfast et Cherbourg racontent la même histoire avec un style différent.
Liverpool présente des documents d’époque. Belfast joue sur la mise en scène et le côté spectaculaire du bateau. Cherbourg met plus en avant la vie à bord avec d’un côté ses prestigieux passagers de Première classe et de l’autre les pauvres émigrés de Troisième classe.
Jour 12 : De Cherbourg à Paris en train
Puis en fin d’après-midi, je vais à la gare SNCF pour le dernier tronçon de mon périple : le retour en train à Paris. Si j’aime partir en voyage, j’apprécie aussi de revenir chez moi !
La gare de Cherbourg est minuscule et j’ai plus l’impression d’être à la campagne qu’à la ville. Je retrouve le même train que sur mon premier trajet de Paris à Rouen, un TER à double niveau moderne et confortable.
Peu après le départ, nous traversons le parc naturel régional des marais du Cotentin. C’est l’une des plus grandes zones humides de France.
Notre trajet passe par Caen, Lisieux et Évreux. Sur la majeure partie du trajet, il pleut et je ne peux prendre des photos. C’est dommage, car le paysage vallonné de la Basse-Normandie est très joli. J’aperçois régulièrement les superbes résidences secondaires de riches parisiens.
L’ancienne centrale électrique au fuel de Porcheville annonce que nous approchons de Paris.
Notre train s’intercale entre les trains de banlieue et les RER avant notre arrivée à la gare Saint-Lazare à Paris.
La boucle de mon périple est bouclée !
Le bilan de mon voyage
Nous sommes arrivés au terme de mon voyage. C’est un bel exemple de « slow travel » que je recommande. Il est relativement simple à organiser et vous pouvez vous en inspirer pour construire le vôtre selon vos envies.
C’est le moment du bilan, et voici ce que j’ai retiré de ce voyage.
Des moments d’évasion.
Le voyage, c’est souvent un moment d’évasion. De ce point de vue, celui que j’ai réalisé est une réussite. Les mini-croisières que j’ai faites ont excité mon imagination. La mer donne une impression d’infini que l’on ne trouve pas à terre. Je suis toujours subjugué de voir les passagers rester pensifs ou rêveurs au bastingage. La sensation de voir s’éloigner une terre puis de s’approcher d’une autre est porteuse de rêve.
Le Titanic : une histoire qui m’a accompagné pendant ce voyage
Ressentir l’atmosphère à chaque fois différente des villes visitées
Un voyage, c’est aussi ressentir des atmosphères. J’ai été sensible à l’ambiance balnéaire de Brighton que j’ai vue sous un jour très ensoleillé. À Londres, je me suis imprégné de la force de la Tamise, qui contribue à la personnalité de la ville. À Dublin, j’ai senti l’humeur très jeune et internationale de la ville.
Réfléchir et apprendre grâce au voyage
Le voyage, c’est réfléchir. De Belfast à Dublin, je me suis plongé dans l’histoire irlandaise avec ses soubresauts, ses souffrances, mais également ses espoirs. J’ai réalisé l’importance de la migration pour ce peuple attachant. Je me suis inquiété de voir que les braises de la division entre républicains et loyalistes ne sont pas tout à fait éteintes en Irlande du Nord.
Conseils pratiques pour votre voyage en train et ferry entre la France et l’Irlande
Les sites de référence
Il existe deux sites de référence pour organiser votre propre voyage :
- Seat61 : Mark Smith a créé un site internet qui est LA bible du transport ferroviaire.
- Discoverferries : C’est le site qui regroupe l’offre des 13 opérateurs de ferries des iles britanniques
La météo !
Consulter la météo au Royaume-Uni et en République d’Irlande est indispensable ! Le climat océanique est très changeant et il faut savoir s’adapter. Les sites les plus fiables sont ceux des services métérologiques officiels :
- Met Office au Royaume-Uni
- Met Eireann en Irlande
Se loger
Dans toutes les villes où je suis passé se loger est très facile avec une offre hôtelière ou chez l’habitant très importante et diversifiée.
Mon seul conseil est que vous recherchiez un logement plutôt central et facile d’accès depuis les gares et les ports.
Mon budget transport
Mon budget transport total a été de 495 EUR en choisissant les conditions de voyage les plus confortables :
- Train Paris Rouen en 1ère classe et Rouen Dieppe en 2nde classe : 60 EUR
- Ferry Dieppe Newhaven : 39 EUR
- Train Brighton – Londres en 2nde classe : 22,60 GBP
- Billet Hop-on-Hop-off 2 jours trajets illimités avec Uber Boat à Londres : 36,90 GBP
- Train Londres Liverpool en Standard Premium : 55 GBP
- Ferry Liverpool Belfast : 41 GBP + supplément Stena Plus Lounge 30 GBP
- Train Belfast Dublin en 1ère classe : 48 GBP
- Ferry Dublin Cherbourg en cabine privative : 179 EUR
- Train Cherbourg Paris en 1ère classe : 47 EUR
C’est plus cher qu’un aller-retour en avion entre Paris et Dublin mais ce n’est pas comparable.
Réserver ses trains et ferries
Où faire ses réservations de train et ferry ?
- Train Paris Dieppe et Cherbourg Paris : SNCF
- Ferry Dieppe Newhaven : DFDS
- Train Brighton – Londres : Southern railways
- Bateau sur la Tamise : Uber Boat by Thames Clippers
- Train Londres Liverpool : Avanti West Coast.
- Ferry Liverpool Belfast : Stena Line
- Train Belfast Dublin : Translink
- Ferry Dublin Cherbourg : Irish Ferries
Have a good trip!
Bon voyage !
Merci pour ce récit qui m’a décidé à reprendre mes recherches afin de voyager en Irlande . Plusieurs voyages seront nécessaires pour parcourir l’Irlande tellement riche en paysages, sites naturels musées, gastronomie…. Comment trouver des hébergements chez des particuliers ? Quel site privilégier ?
Bonsoir Annie,
Je suis très heureux si mon récit vous a donné envie de voyager en Irlande. Pour choisir un hébergement je vous conseille de vous référer à mon article suivant : Airbnb : comment trouver les meilleurs hébergements ?
Cordialement,
Jacques
Contrairement à ce que vous indiquez, il y a aussi une cathédrale catholique à Dublin, la cathédrale St Mary.
Elle se trouve tout près de O’Connell Street (et de The Spire). C’est moins grand que St Patrick, qui devrait logiquement retourner à l’Eglise Catholique, confession majoritaire en Irlande, mais c’est le lieu où l’évêque catholique de Dublin célèbre.
Sinon, merci pour ce récit de voyage ! Je reviens de Dublin, j’ai beaucoup aimé 🙂
Merci Hervé pour la précision. De ce que j’ai compris Sainte-Mary est une pro-cathédrale. Elle a été désignée comme siège de l’archevêché catholique après la Réforme, car les deux grandes cathédrales historiques de la ville (Saint-Patrick et Christ Church) étaient devenues anglicanes. Elle est donc utilisée « à la place de » la cathédrale officielle du diocèse.